Terreur sur les librairies bordelaises ! Michel Ohl, l'Attila de Caudéran, la terreur des Postes Télégraphes Téléphones (et aussi leur meilleur client), l'aîné des poètes d'Onesse passe aux choses sérieuses et vide son barillet (sans crédit). Anonyme, réfugié derrière le terrible pseudonyme de Michou qui fait froid dans le dos, il a assemblé les lettres d'un impressionnant message à l'intention de notre patron. Nous voilà prévenus! Dans sa mire impitoyable, il nous vise, dénonçant de la sorte les dangers de la notoriété. Son message est claire et doit envahir cette colonne. Michel Ohl est passé aux balles retrouvées, on va se tuer à vous le répéter.