Chargement...
Chargement...


Toutes les bonnes choses ont une fin

1713_toutes-les-bonnes-choses-ont-une-fin
Une actualité de Fleur Cattiaux
Publié le 30/08/2013

Jorn RielLes plus observateurs d'entre vous et les adeptes des parutions Gaïa l'auront sans doute déjà remarqué - la maison d'édition qui porte le nom de la déesse grecque de la Terre a relooké ses livres. Ainsi a-t-on pu lire ses dernières publications, comme Terre des affranchis, de Liliana Lazar, ou encore La fenêtre berlinoise, de Sasa Ilic, sur un papier... non pas rose, ni bleu, ni violet, mais tout simplement blanc... Tel est également le cas du dixième et ultime recueil de racontars de Jorn Riel (qui se trouve d'ailleurs en tournée en France jusqu'au mois de décembre). Ceux d'entre vous chez qui ce nom ne génère rien de plus qu'un haussement de sourcils doublé d'une petite interrogation quant à sa prononciation correcte sont bien à plaindre. Sincèrement. Si les romans de Riel valent le détour, ce n'est rien à côté de la série de ses racontars arctiques. Le naufrage de la Vesle Mari nous embarque pour les dernières aventures - pensez au gilet de sauvetage ! - de cette tribu de pieds nickelés que sont les derniers trappeurs survivant quelque part au nord-est du Groenland. Sauf que cette fois-ci, closure oblige, nos joyeux anti-héros sont rapatriés sur le vaisseau-mère : en rejoignant le Danemark, ils vont devoir se réadapter à la civilisation. Ca promet ! Vous l'aurez compris, Jorn Riel nous livre une fois de plus un ensemble de petits bijoux qui auront toutes les chances de vous faire vous tordre de rire. On en redemanderait volontiers, mais puisqu'il paraît que toutes les bonnes choses ont une fin...

F.A.

Bibliographie

Abonnement

Derniers articles du blog "Ces mots-là, c'est Mollat" envoyés chaque semaine par mail