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Amanda Boyden à America

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Une actualité de Fleur Cattiaux
Publié le 18/03/2016

De l'écriture comme catharsis... Tandis que les ouragans, séismes et autres catastrophes naturelles semblent bel et bien se multiplier, plus besoin d'aller chercher du côté des films catastrophes pour se faire une idée de ce que ça peut donner. Marqués par ces événements pour des raisons parfois très personnelles, certains écrivains ont se font l'écho de ces désastres, tout comme le terrorisme continue à trouver une place privilégiée au sein de la production romanesque de nos contemporains (à l'instar du dernier livre de Jean Guerreschi ou d'Yves Ravey, sans compter des parutions plus anciennes sous la plume de Don DeLillo, Claire Messud, John Updike ou encore Colum McCann). Ainsi, on se souvient du roman d'Emmanuel Carrère intitulé D'autres vies que la mienne, qui avait fait grand bruit à sa sortie l'année dernière. Mais la rentrée 2010 n'a pas été en reste. Du côté des francophones, on pense ainsi au dernier livre de Laurent Gaudé, ou encore au récit très personnel de Yanick Lahens. Mais c'est évidemment du côté des livres traduits que nos yeux de lecteurs sont susceptibles de rencontrer le plus grand nombre de romans. Il en va ainsi des derniers livres de Yoshimura, d'Estevez, et surtout d'Amanda Boyden. Rencontrée au Festival America, cette dernière revient avec beaucoup d'émotions sur l'expérience traumatisante qui a inspiré En attendant Babylone, son dernier roman paru aux éditions Albin Michel.

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