Michel Ohl auquel nous n'accolerons cette fois-ci aucun adjectif, son patronyme seul suffisant à définir sa grandeur, est un fidèle de ce blog qu'il ausculte sans ménagement et sans regretter aucunement la proposition que nous lui avions faite de disposer du sien (et que nous renouvelons encore une fois, sans illusion...). La Poste a déposé ces jours-ci un courrier adressé à "Ces mots-là, c'est Mollat", événement rarissime, et il était signé de cet auteur auquel on consacrera, le moment venu, avec le financement des PTT dont il est un des meilleurs clients, un musée de "mail-art". Cette pièce exceptionnelle, dont nous laisserons à chacun le soin de faire l'exégèse, vous est donc proposée ici, parce que nous sommes partageurs, on ne se refait pas.
Pour finir, et inciter aussi les curieux et autres explorateurs, une citation du Grand Ohl, phrase hors contexte tirée d'un livre qui en est plein :
"je me comprends à moitié, l'autre moitié vous incombe, je me comprends" Pauvre cerveau qu'il faut bercer. Le Castor astral, 2006