ur des autres... Ajoutez à cela un ton que l'on qualifiera de désabusé et ironique, sans compter la présences de réflexions sur le rôle de l'écrivain et vous obtenez un cocktail idéal qui n'est pas sans rappeler les géniales nouvelles du catalan Sergi Pàmies (cf. notre blog ainsi que l'interview faite par notre équipe). Vous l'avez compris, Gloire est un régal pour toutes ces raisons, plus une dernière : le plaisir qu'a pris ce grand nom de la scène littéraire allemande en l'écrivant est perceptible à chaque page !
N.B. : Notons au passage la qualité de la traduction de Juliette Aubert, qui avait aussi traduit Les arpenteurs du monde.
F.A.