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Le portable de Florence Delay

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Une actualité de David V.
Publié le 21/09/2013

L'extra-territorialité a bien des avantages et parfois des plus inattendus. Florence Delay qui venait la semaine dernière nous parler de son dernier et merveilleux petit livre Mes cendriers, en a fait l'expérience dans les bureaux du Consulat du Mexique où, à l'invitation du Consul lui-même, elle a pu sortir de son sac une petit boîte ronde en argent destinée à recueillir les cendres de ses cigarettes voyageuses et lâcher quelques bouffées amicales en évoquant le grand Cesar Vallejo. Ce petit moment de pause faisait suite à quelques minutes passées devant notre caméra, instant de grâce où cette fille du feu qui est aussi Académicienne nous a enchantés en évoquant ses affinités électives pour le tabac. Voici ces quelques minutes, précédées de nos remerciements à cette grand dame de la littérature.

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