Rock métallique avec
Symphony X en concert à la
Rock School Barbey ; théâtre insolent avec les
Lettres de non-motivation aux
Colonnes ; opéra tragique avec
Rigoletto au
Pin galant ; et chorégraphie belgo-palestinienne dans
Badke au
Carré.
Premier jour de mars : sortez les riff de guitare.
La Rock School Barbey reçoit une des figures emblématiques du mouvement métal progressif :
Symphony X.
La virtuosité des musiciens et la voix claire de Russel Allen promettent un concert digne d’une expérience complète. En tournée européenne pour leur dernier album
Underworld, le guitariste Michael
Romeo promet de
maintenir l’intérêt et l’énergie à un haut niveau !
Photo © D.R
Je vous en prie Ne m’embauchez pas… Voilà ce que déclare en substance chaque lettre écrite par l’artiste
Julien Prévieux - lauréat en 2014 du prix Marcel Duchamp – quand il répond aux offres d’emploi entre 2000 et 2007. Sur le millier envoyées, une trentaine ont fait l’objet d’un recueil, à partir duquel
Vincent Thomasset conçoit son spectacle : « Si les
Lettres de non-motivation n’ont pas été écrites pour la scène, elles portent en elles tout ce qui fait théâtre ». Les cinq interprètes vous le prouveront le 1
er mars
aux Colonnes de
Blanquefort.
Photo © : D.R
Rigoletto, l’un des opéras les plus populaires du monde… Ce premier volet de la trilogie de
Verdi, inspiré d’une pièce de Victor Hugo, raconte
« les escapades amoureuses du Duc de Mantoue avec la complicité de son bouffon, Rigoletto, un bossu". Sa fille Gilda est le troisième personnage de l'oeuvre. Alors que Rigoletto devient au fur et à mesure des scènes un personnage de tragédie, le Duc continue de chanter :
"La donna è mobile".
Les solistes, chœurs et orchestre de la compagnie lyrique
Opéra 2001 le joueront le 2 mars devant les spectateurs de la salle du
Pin Galant, à
Mérignac.
Photo © D.R
Badke : inversion de
dabke, nom de la danse folklorique palestinienne. Cette production
A.M. Qattan Foundation mélange les ballets belges
C de la B et
KVS en collaboration avec
dix performers palestiniens de différents horizons : dabke traditionnelle, danse contemporaine, ballet, hip-hop, capoeira ou cirque. Chorégraphie enlevée, la souffrance du peuple palestinien se devine pourtant au milieu des explosions de joie et de la vitalité physique :
Nous dansons jusqu’à nous effondrer…
Au Carré, à
Saint-Médard-en-Jalles, le 4 mars à 20h30.
Photo © Danny Willems