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RESEÑAS: Les élèves de Bachibac du lycée Victor Louis lisent et écrivent, billet n° 15

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Une actualité de Marilyn
Publié le 21/04/2016
viejoUn día, los habitantes de El Idilio, pequeño pueblo de la Amazonia, descubieron en una piragua, el cadáver de un hombre rubio asesinado. Enseguida acusan a los Indios (los Shuars) del asesinato. El alcalde (“la babosa”) es uno de los primeros en acusarlos. Solo Antonio José Bolívar, un hombre viejo descubre de hecho que es una herida de animal. El autor evoca después la vida de Antonio. El se hace el amigo de los Shuars, viven apaciblemente hasta que los Blancos (los Jivaros) se instalaron en el bosque para encontrar oro. Matan dos Shuars para robar oro. Antonio defiende los Shuars sobre el asesinato del hombre rubio. Después de esto, Antonio sale a El Dorado para comprar novelas de amor. Una mañana, un segundo hombre fue matado. El alcalde de El Idilio decide organizar una expedicion para matar el animal Este libro me ha aportado mucho sobre la mentalidad de los hombres. Sobre todo el racismo (la acusación diresta de los habitantes de El Idilio hacia los Shuars. Me ha gustado mucho tambien este libro porque habla de naturaleza, de aventura y el racismo hacia los Indios porque son “huraños” ! Propongo este libro para aquellos a quienes les gustan las aventuras, la naturaleza, el amor y las investigaciones.
  sepulvedaUn jour, les habitants d’El Idilio, petit village d’Amazonie, découvrent dans une pirogue, le cadavre d’un homme blond assassiné. Tout de suite ils accusent les Indiens (les Shuars) de l’assassinat. Le maire (« la limace ») est un des premiers à les accuser. Seul Antonio José Bolívar, un vieil homme découvre enfin que c’est une empreinte d’animal. L’auteur évoque ensuite la vie d’Antonio. Il devient l’ami des Shuars, ils vivent paisiblement jusqu’à ce que les Blancs (les Jivares) s’installent dans la fôret pour trouver de l’or. Ils tuent deux Shuars pour trouver de l’or. Antonio défend les Shuars sur l’assassinat de l’homme blond. Après cela, Antonio part pour l’El Dorado pour acheter des romans d’amour. Un matin, un deuxième homme fut tué. Le maire d’El Idilio décide d’organiser une expédition pour tuer l’animal… Ce livre m’a beaucoup apporté sur la mentalité des hommes. Surtout le racisme (l’accusation directe des habitants d’El Idilio envers les Shuars). J’ai beaucoup aimé ce livre parce qu’il parle de nature, d’aventure et de racisme envers les Indiens parce qu’ils sont « sauvages » ! Je propose ce livre pour ceux qui aiment les aventures, la nature, l’amour et les enquêtes. Anaïs Ducamp, section bachibac